Contraindre un poète à écrire est comme dépouiller un ivrogne de sa bouteille.
Elle avait besoin d’écrire pour se souvenir, se souvenir de ce qui était perdu ou de ce qu’elle n’eût pas.
J’écris avec mes tripes ; rarement avec ma tête et parfois avec mes pieds.
Le vent tremble dans l’arbre. J’ai peur de tomber.