La misère

Avant on se demandait régulièrement
qu’est-ce qu’on va manger. Maintenant on
se demande constamment qu’est-ce qu’on
peut encore se payer.

Page 27, Peu pour tout dire.

Il ne faut jamais baisser les bras, mais, Ô, combien de fois nous lèverions plutôt le poing.

Page 28, Peu pour tout dire.

Malgré tout, nous continuons d’acheter des graines pour les oiseaux.
Ne sont-ils pas une nourriture pour notre esprit ?

Le gros-bec errant était de passage à notre chalet dans les Laurentides.

Écriture

L’écriture
Reste une mort
Qui cherche la résurection…

Ok, je parle de la mienne. Les autres sauront sûrement survivre.
https://mobile.twitter.com/Soupir59/status/1525689277635608576


J’ai toujours aimé la chaleur des animaux et des foyers…et punaise que j’avais le toupet bien coupé drette… 🙂

Denise Souvenirs an 1968

La musique pour oublier les mots

Aimer les chansons à texte pour ensuite mourir dans les bras de sa musique.

Ce soir, j’ai de coincée en travers la gorge, le son du désespoir qui recherche l’espoir.

Mais il n’y a rien à y faire, rien à faire…le bonheur revient toujours derrière toutes les calamités.

À l’abri des mots, je vais survivre.