Ne sachant plus (chanson)

Surmontant ma paresse…je crois avoir réussi, à la suite de plusieurs heures de travail…J’avoue, je ne suis pas très douée pour effectuer un montage vidéo. Voici donc une chanson qui est à la recherche d’interprètes féminine et prenez note qu’il existe également une version masculine.

Bonne écoute et bon visionnement !


Tueur tu meurs (prise II)

Jérome Casanova (Casa) me confiait que sa musique lui avait été inspirée alors qu’il visionnait le film «Baise-moi» de Virginie Despente. … Et dire que sa musique m’avait inspiré un tueur en série dès ma première écoute…hasard…heureux…ou…heureux hasard ?

Vous pouvez visionner et entendre ma poésie sur une vidéo de Christian Pascal (Zorg) en 
en espérant qu’elle tiendra le coup un petit moment…car il pourrait lui arriver de
disparaître comme par magie ! Après tout Zorg est un magicien… La musique n’est pas l’originale qui m’a inspirer mon texte au départ (sur « animation flash »…qui n’existe plus). Je remercie Christian pour cette seconde vie à mes mots…même si ça me fait un petit pincement au coeur de ne pas entendre la musique de la première version.


SINON, MON TEXTE A ÉTÉ ÉCRIT AU TOUT DÉPART SUR CETTE MUSIQUE : 

Y a des routes droites
Et des ruelles étroites
Des passages à vide
Et des chemins inanimés
Y a des allées suicides
Parfois des chats écrasés
Dans des villes sans lumières
Y’a des pistes mortuaires
Et des lunes sans espaces
Dans mes rêves qui s’entassent
Des espions à la trace
Des stops sans mouvement
Dans le nord du vent
Sans orientation
Qu’une observation
La suite est variation
De mes lunes dans l’espace
Et mes rêves qui s’entassent
Y a parfois des rats écrasés
Dans des villes sans lumières
Où l’égout provient du dégoût
Y a parfois des taupes à genoux
Dans des villes sans lumières
Où la peur est cachée…

Y a des cris dans la nuit
Des femmes qui s’enfuient
Des taches sur les mains
La trouille du matin
Et des horreurs dans le noir
Des putes sur le trottoir
Quelques robes déchirées
Sur des chemins échancrés
Y a des corps et des morts
Y a des morts et des corps

Y a des routes droites
Et des ruelles étroites
Des passages à vide
Et des chemins inanimés
Y a des allées suicides
Parfois des chats écrasés
Dans les villes sans lumières
Y a des pistes mortuaires
Des cadavres dans les boites
Y a des rues sans issue
Et des pas sans échos
Alors que je la doigte
J’entends un bruit chaud
Ma cervelle en lambeau
Se plaque contre un cadavre

Violeur de chérie
Tueur sans esprit
Violeur en série
Tueur, tueur,tueur,  tueur…….
Tu meurs…
Tueur, tueur,tueur, tueur…….
Tu meurs…

Texte : 2007© Tous droits réservés Denise Girard (Soupir)