Ouverture officielle #humour

Il me fait immensément plaisir de vous annoncer l’ouverture officielle de mon nouveau site d’humour : Sans-dessine

Certes, j’aurais préféré ajouter ici même, mes divagations d’un humour impossible. Ainsi, je n’aurais pas eu à travailler doublement pour concevoir un autre site.

Mais…on ne peut pas toujours tout mélanger (même si je le suis).

L’humour et la poésie, n’est-ce pas comme des fleurs dans un vase et des fleurs dans les prés ?

Je vous avoue en toute honnêteté que je ne crois pas posséder la fibre comique, mais j’expédie tout cela dans le cosmique.

Puis, on verra bien qui rira le dernier !

Cliquez n’importe où sur le texte et vous y serez transporté par l’univers d’internet.

Avec un grand sourire, sans toutes ses dents,
Denise (alias Soupir59)

Écriture

L’écriture
Reste une mort
Qui cherche la résurection…

Ok, je parle de la mienne. Les autres sauront sûrement survivre.
https://mobile.twitter.com/Soupir59/status/1525689277635608576


J’ai toujours aimé la chaleur des animaux et des foyers…et punaise que j’avais le toupet bien coupé drette… 🙂

Denise Souvenirs an 1968

La musique pour oublier les mots

Aimer les chansons à texte pour ensuite mourir dans les bras de sa musique.

Ce soir, j’ai de coincée en travers la gorge, le son du désespoir qui recherche l’espoir.

Mais il n’y a rien à y faire, rien à faire…le bonheur revient toujours derrière toutes les calamités.

À l’abri des mots, je vais survivre.



Je veux vivre – #Arno

Depuis quelque temps, chaque fois que j’ouvre mon Twitter…il y a l’annonce d’un décès. Certains me touchent, d’autres moins. Néanmoins, la mort m’a toujours côtoyée depuis mes 12 ans, lorsque mon père sombra dans un long coma suite à un violent accident de la route. À 13 ans, j’ai pu voir la mort dans ses yeux. Depuis ce moment, j’ai senti qu’elle ne me quitterait plus.

À force de vivre, tous les autres meurent.

Même une pierre tombale finira par
retomber en poussière.

Peu pour tout dire. Page 58
Ceux qui sont partis.


Un monde comme nous le voudrions…un monde ou il peut vivre maintenant, dans les bras de sa mère. Repose en paix, l’Artiste.