La misère

Avant on se demandait régulièrement
qu’est-ce qu’on va manger. Maintenant on
se demande constamment qu’est-ce qu’on
peut encore se payer.

Page 27, Peu pour tout dire.

Il ne faut jamais baisser les bras, mais, Ô, combien de fois nous lèverions plutôt le poing.

Page 28, Peu pour tout dire.

Malgré tout, nous continuons d’acheter des graines pour les oiseaux.
Ne sont-ils pas une nourriture pour notre esprit ?

Le gros-bec errant était de passage à notre chalet dans les Laurentides.

Publié par

denisegirardsoupir

Raconter ma vie serait simplement une erreur. Profitez du temps qui passe et peut-être bien qu'un jour, on me racontera.

2 réflexions au sujet de “La misère”

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