Pouvoir vivre sans attendre
Cette mort qui nous veut
Pouvoir écrire avec mes cendres
Pour vous jeter de la poudre aux yeux
Pouvoir fendre la peur
D’un coup de hache de la vie
Pouvoir
Resserrer en mon cœur
Un bout du paradis
Là où les oiseaux ont grandi.
Photo, encore vivante
Je ne souhaite pas t’envoyer au « Paradis blanc » de Michel Berger, mais que tu y ailles de ton vivant ❤ ❤ ❤
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Je viens de te faire parvenir un mot…vocalement…voyons si ça fonctionne… 🙂 T’embrasse et à tout bientôt. J’ajoute, merci pour ton commentaire magique !
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J aime beaucoup ce poème vivre sans peur, une gageure !
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Merci, Cécile. Pardon pour le temps que je prends à répondre. L’été, je ne suis pas trop souvent de passage sur internet. Belle semaine à vous !
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Merci et pas de souci
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