Je cabosse mes mots.
Je suis la verrue de ton cœur
…la sangsue de ta tête
Ce monde est trop étroit pour moi…je dois sortir de ma tête
Il me manque une épaule pour pleurer
Il me manque une tête pour penser
Il me manque le bonheur…seulement un petit peu de bonheur…une parcelle de bonheur…un soupçon…un…
Mais je l’ai manqué
La vie m’aura marqué au fer rouge plus qu’à mon tour
Veuillez refermer la porte en repartant. Je n’ai plus la force de l’ouvrir…
Tes derniers billets sont forts .Ils se font bien entendre et demandent d’autres mots que nous attendons.Bises Denise.
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Je ne sais pas ce que vous entendez par » il se font bien entendre » parce que moi j’y entends peut-être un peu trop la réalité. Merci Jocelyne ce commentaire est le bienvenue et toi aussi 🙂
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Cri de désespoir? toi si riche intérieurement, si si riche.
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Oui pour le cri. Pour la richesse je ne crois pas non. J’ai l’intérieur pauvre, tellement pauvre et vide en ce jour. Je t’embrasse Diane et un autre grand merci pour ton intérêt à lire mes mots. xx
P.s. t’as reçu mon mail ?
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