Saviez-vous que le mois de l’ #autisme est terminé…mais que ma fille l’est encore…
— Denise Girard (@Soupir59) May 1, 2014
Tous les gestes ne sont pas souhaitables. Les mots pareillement.
— Denise Girard (@Soupir59) May 3, 2014
Ça existe encore des gens qui vont tirer la laveuse et la sécheuse pour passer l’aspirateur derrière ?
— Denise Girard (@Soupir59) May 7, 2014
Quand les bananes tombent les singes grimace… #rienàdire
— Denise Girard (@Soupir59) May 7, 2014
Miroitent les lumières dans l’achèvement d’une lune l’attente d’une lune lueur au loin
— Denise Girard (@Soupir59) May 4, 2014
Couper. Couper des phrases. Couper pour écourter. Couper pour faire plus court dans cette vie qui passe trop vite. Couper…encore…
— Denise Girard (@Soupir59) May 4, 2014
Avec ce printemps je n’m’étonnerai pas de voir sortir les couleurs de l’automne des bourgeons…
— Denise Girard (@Soupir59) May 4, 2014
Si tu voyais tout ce que je ne vois plus. Si tu savais tout ce que je ne sais plus. Si tu m’aimais comme je t’aime encore plus… #plusrien
— Denise Girard (@Soupir59) May 3, 2014
S’imaginer le bonheur facile peut-il l’interpeller ?
— Denise Girard (@Soupir59) May 3, 2014
La poésie je crois est le début de la folie… il y a longtemps déjà elle était là…
— Denise Girard (@Soupir59) May 3, 2014
Entre deux heures.
— Denise Girard (@Soupir59) May 3, 2014
Pourquoi suis-je toujours seule la nuit pour construire des rêves. Et des lendemains…des lendemains…peut-être…
— Denise Girard (@Soupir59) May 3, 2014
Tu sais les mots ne sont pas importants. Ce qui importe c’est l’amour que tu portes en toi. Il est rare l’amour. Rare comme les bons mots…
— Denise Girard (@Soupir59) May 3, 2014
La hantise du temps fracasse les fenêtres. Disloque les fauteuils. Amoncelle la poussière.
— Denise Girard (@Soupir59) April 27, 2014
J’ai la poésie flasque comme mes fesses aujourd’hui…
— Denise Girard (@Soupir59) April 27, 2014
Comment s’élever au dessus de tous sans ne jamais laisser tomber personne ? #enécoutantdelamusique
— Denise Girard (@Soupir59) April 27, 2014
Je puis écrire sur des sons mais ne puis jamais retenir mes cris…
— Denise Girard (@Soupir59) April 27, 2014
Essayer de retenir le sommeil de venir…
— Denise Girard (@Soupir59) April 27, 2014
J’avoue que ça me fout la trouille de lire des gens qui ne savent même pas que j’existe.
— Denise Girard (@Soupir59) April 27, 2014
Quand il pleut je m’amuse avec mes chansons : Sur la Route un Crapaud : http://t.co/xaTAl9KAts via @YouTube
— Denise Girard (@Soupir59) April 26, 2014
Retrouver ma #poésie comme ça…chez une inconnue c’est flatteur : La vieille grange (+playlist): http://t.co/HvFuJ26leL via @YouTube
— Denise Girard (@Soupir59) April 26, 2014
Si on abattait tous les arbres… il ne resterait que les feuilles pour pleurer. [Denise Girard]
— Denise Girard (@Soupir59) April 25, 2014
Bientôt il n’y aura plus qu’un seul endroit où le gouvernement pourra couper… La corde qu’on a autour du cou pour pouvoir nous enterrer.
— Denise Girard (@Soupir59) April 25, 2014
Un oiseau en vol stationnaire signifie pas qu’il ne fait rien. Il guette sa proie. Pareil pr moi lorsque j’suis assise à rien faire. J’pense
— Denise Girard (@Soupir59) April 22, 2014
Cet épais brouillard comme si on avait pulvérisé le temps au fixatif
— Denise Girard (@Soupir59) April 14, 2014
Dans son regard lointain je m’égare.
— Denise Girard (@Soupir59) April 13, 2014
Plus le temps d’aimer
— Denise Girard (@Soupir59) April 13, 2014
Si tu attends le murmure du vent je ne saurai pas m’envoler.
— Denise Girard (@Soupir59) April 13, 2014
Si tu me reviens je ne saurai pas te retenir.
— Denise Girard (@Soupir59) April 13, 2014
Dans ce silence noir il te reste encore le murmure de l’aurore.
— Denise Girard (@Soupir59) April 13, 2014
Les mots je les croque comme un paradis qui se fout de moi !
— Denise Girard (@Soupir59) April 13, 2014
L’heure où tout semble s’arrêter dès que je tape sur mon clavier. Comme si je n’existais plus… #bonheur
— Denise Girard (@Soupir59) April 6, 2014
J’ai la poésie flasque comme mes fesses aujourd’hui…
C’est bon… je ne relève pas tout mais je lis…
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