Ce soir, je vais regarder un film qui me rend mon cœur d’enfant. Il me fait tant rire… qu’il est bon de retrouver une certaine légèreté en ce monde parfois lourd.
Et vous, y a-t-il un film qui vous fais tout oublier… et surtout rire? Je vous le souhaite, sincèrement.
Films de ce soir : Paddington 1 et 2
Pour terminer, j’ajoute ma chansonnette que j’aime bien dépoussiérer, occasionnellement, de mon YouTube. Si vous avez des enfants, ça pourrait peut être les intéresser… à vous de voir!
Surmontant ma paresse…je crois avoir réussi, à la suite de plusieurs heures de travail…J’avoue, je ne suis pas très douée pour effectuer un montage vidéo. Voici donc une chanson qui est à la recherche d’interprètes féminine et prenez note qu’il existe également une version masculine.
Jérome Casanova (Casa) me confiait que sa musique lui avait été inspirée alors qu’il visionnait le film «Baise-moi» de Virginie Despente. … Et dire que sa musique m’avait inspiré un tueur en série dès ma première écoute…hasard…heureux…ou…heureux hasard ?
Vous pouvez visionner et entendre ma poésie sur une vidéo de Christian Pascal (Zorg) en en espérant qu’elle tiendra le coup un petit moment…car il pourrait lui arriver de disparaître comme par magie ! Après tout Zorg est un magicien… La musique n’est pas l’originale qui m’a inspirer mon texte au départ (sur « animation flash »…qui n’existe plus). Je remercie Christian pour cette seconde vie à mes mots…même si ça me fait un petit pincement au coeur de ne pas entendre la musique de la première version.
SINON, MON TEXTE A ÉTÉ ÉCRIT AU TOUT DÉPART SUR CETTE MUSIQUE :
Y a des routes droites Et des ruelles étroites Des passages à vide Et des chemins inanimés Y a des allées suicides Parfois des chats écrasés Dans des villes sans lumières Y’a des pistes mortuaires Et des lunes sans espaces Dans mes rêves qui s’entassent Des espions à la trace Des stops sans mouvement Dans le nord du vent Sans orientation Qu’une observation La suite est variation De mes lunes dans l’espace Et mes rêves qui s’entassent Y a parfois des rats écrasés Dans des villes sans lumières Où l’égout provient du dégoût Y a parfois des taupes à genoux Dans des villes sans lumières Où la peur est cachée…
Y a des cris dans la nuit Des femmes qui s’enfuient Des taches sur les mains La trouille du matin Et des horreurs dans le noir Des putes sur le trottoir Quelques robes déchirées Sur des chemins échancrés Y a des corps et des morts Y a des morts et des corps
Y a des routes droites Et des ruelles étroites Des passages à vide Et des chemins inanimés Y a des allées suicides Parfois des chats écrasés Dans les villes sans lumières Y a des pistes mortuaires Des cadavres dans les boites Y a des rues sans issue Et des pas sans échos Alors que je la doigte J’entends un bruit chaud Ma cervelle en lambeau Se plaque contre un cadavre
Violeur de chérie Tueur sans esprit Violeur en série Tueur, tueur,tueur, tueur……. Tu meurs… Tueur, tueur,tueur, tueur……. Tu meurs…
Vous savez, j’écris à mon rythme, qui selon moi, est très lent. Mais peu importe puisque ce qui compte est d’arriver à mes fins…ou espérons, à la fin de mon livre.
Pour le moment, tout ce que je puis vous offrir, ce ne sont que quelques mots qui seront à l’intérieur…ou pas…
Je vous les propose sous forme de montage vidéo. En majorité, ce sont des time-lapses devant un lac dans la région de Mont-Laurier, dans les Laurentides.
Souhaitant que ce petit instant de visionnement vous plaise tout en vous invitant à lire mon premier livre, disponible en format numérique ICI, et cela même avant que le deuxième ne prenne son envol… …mais il tarde, je sais.
Ce petit roselin pourpré est venu vers moi, sans vraiment le savoir. Il était presque complètement aveugle. Je croyais que c’était un oisillon qui n’avait pas encore tout à fait apprivoisé ses ailes en vol. (suite…)
Il y a une vidéo avec son, mais aussi, uniquement les mots pour ceux et celles qui n’aiment pas les vidéos… Et si vous n’aimez pas les mots, vous passez votre chemin 😛 (suite…)
Mille pardons, un ami sur Twitter viens de m’ouvrir les yeux sur le vrai nom de la bestiole. Il s’agirait plutôt d’un lapin à queue blanche. Mais il est toujours aussi attachant, n’est-ce pas ?
Il est tellement mignon.
Je voudrais l’attraper pour le flatter et le bécoter.
Le serrer fort dans mes bras et l’aimer toute ma vie…ou la sienne.
À 2 minutes 51 secondes…on dirait qu’il se brosse les dents, trop drôle.