Catégorie : Twitter presque en direct…
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#Twitter ou rien
Écrire sous le coup de l’émotion. Twitter me tient par ce goût d’écrire rapidement, sans penser, sans vivre la torture de retoucher, corriger et surtout de repenser ce que j’écris. Alors, un peu de ma plume n’ayant pas la prétention que je vous ferez prendre votre envol. Je suis moi, sans plus, sans plus… sans plumes…
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J’étais là :
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#Écrire (le choix de #Twitter)
Voici donc mon poème qui est le choix du mois de novembre sur #Twitter. Oui, j’y vais avec les petits coeurs que l’on sème sur mes écrits. Ceux-là mêmes qui me font sourire dès lors que je les découvre. Merci à vous tous, mes petits coeurs !
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J’appelle mes #tweets
Le paradis noir sous les étoiles. #6Mots
— Denise Girard (@Soupir59) 3 juin 2019
Je cherche mes mots. Peut-être qu’un seul pourrait suffire. L’autre, je l’aurai perdu.
— Denise Girard (@Soupir59) 1 juin 2019
Être là, au bon moment, lorsque rien n’arrive à l’heure.
— Denise Girard (@Soupir59) 1 juin 2019
Plus il passe le temps, moins il m’en reste.
— Denise Girard (@Soupir59) 1 juin 2019
Plus je lis les autres, plus je voudrais écrire pour moi.
— Denise Girard (@Soupir59) 1 juin 2019
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Twitter presqu’en direct
#Écrire n’est qu’un symptôme. Ne reste plus qu’à le #lire.
— Denise Girard (@Soupir59) 3 mars 2019
Il est l’heure 0.
L’heure tombe.
L’heure sans partage.
L’heure du sommeil profond.
Il est l’heure 0.
L’heure du rêve.
L’heure d’écrire.
L’heure où tout s’efface.
L’heure où l’on voudrait tout recommencer.— Denise Girard (@Soupir59) 24 février 2019
Il y a tant d’Arts en ce monde que j’en oublie une pArt de moi-même.
— Denise Girard (@Soupir59) 16 février 2019
Les vivants apparaissent et disparaissent autour de moi comme les colombes qui sortent des mains vides du magicien. J’ai beau regarder attentivement ces mains, je ne trouve aucune explication.
— Denise Girard (@Soupir59) 3 février 2019
Le manque d’inspiration
Est comme être en prison
J’ai brisé tous les barreaux
Sans jamais trouver les mots.
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Des tweets de Twitter
Des larmes
Des larmes de toute une jeunesse
Une jeunesse en détresse
Des larmes à cause des armes
Des larmes chargées d’amour.— Denise Girard (@Soupir59) 25 mars 2018
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Sur mon twitter
Suis-je passé à 280 caractères sur Twitter ? Je dois tester pour le savoir. Le problème est que je n’arrive plus à écrire plus de 140 caractères. Que dois-je faire alors ? Ok, je vais faire court. On verra bien par la suite. Putain c’est long 280 caractères…
— Denise Girard (@Soupir59) 12 novembre 2017
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Du Vrac en Vrac
Considérant que mon écriture n’est qu’un produit en Vrac je m’emballe souvent à rédiger des trucs variés…attention je ne dis pas avariés… (…ça peut arriver) mais bien variés. C’est comme une montée d’adrénaline qui me pousse à sortir de mon corps pour ne plus ressentir ce même corps. Je ne respecte pas nécessairement de ligne de pensée mais parfois je n’écris qu’une seule ligne qui fait réfléchir ou laisse perplexe.
Mon écriture en Vrac n’est rien d’autre qu’un moment où je trouve une brèche dans ma vie qui me permet de m’évader ne serait-ce que le temps d’une respiration.
Le temps d’une souffrance qui est derrière moi.
Le temps de me retrouver.
Je crois que ça m’a sauvé la viePour terminer en vrac quelques tweets et autres trucs :
L’amour est un sentiment tellement fort que l’on fini toujours par le détester jusqu’à ce que le plus fort l’emporte…
Il n’y a que les fous qui ne changent pas d’idée…sauf que celui qui change trop souvent d’idée peut nous rendre fou.
Ne rien avoir dans la tête alors que le coeur lui est en surcharge…
Une lampe de détente sensorielle…serait-ce l’écran de mon portable ?
Je ne note jamais rien
je remarque
dans ma tête tout s’inscrit
comme les oublis.Je termine sans oublier deux photos « pas rapport »
Neige fondante
sous un soleil de printemps
sans l’ombre d’un doute