Ta présence
est si absente
que je ne crois
plus en ton existence.
Tu me manques
comme un nom inconnu
écrit sur un mur
…
un mur qui s’écroule.
…
un mur qui s’écroule.
Ma photo, puisqu’il en faut toujours une :
J’ai peine à me souvenir de toute cette jeunesse qui traîne derrière moi.
Mais je me souviens de ce lac, où je vais toujours. J’y étais…j’y suis.

Bonjour Denise. La nostalgie dans ton poème se veut charmante. Passe une bonne journée ! L’écriture aide beaucoup, surtout en situation de crise, avec le virus qui cours. Merci de partager d’aussi jolies poésies 🙂
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Grand merci, Marie-Pier. Prends soin de toi et profite également de ce temps que tu as devant toi, pour écrire, encore et encore. 🙂
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Oui, j’écris beaucoup en ce moment, tout en faisant mes devoirs scolaires. Il me hâte de lire tes nouveaux poèmes
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