Je ne sais plus si la réalité m’effraie plus que les films d’horreur.
Je pourrais écrire en diagonale, pour inverser, ma ligne de pensée.
Me recueillir, sur une sépulture, en chantant :
Je chante, à tue-tête,
ma tête, se tue, sur une stèle,
ma tête, ma tête, répète,
que mourir, à tue-tête,
me défait, le cerveau,,,
Le cercueil, me crie,
à tue-tête, de mourir,
nicher, dans une fosse,
aux chiens,,,
J’aboie,,,
Je voudrais mourir en automne. Cette saison triste, qui revêt ses couleurs vivantes.

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