J’écris par-dessus l’écriture de ma mère sur une vieille recette de pouding. Fragile, le papier est jaunie et cassant…Comme je voudrais regoûter à ce temps…
À notre maison de campagne l’herbe était si haute qu’il me fallut la tondre…(J’étais là)
Le lilas blanc…celui de ma mère était en fleur…Son parfum venait caresser mon cœur. Comme si ses bras venaient encore m’entourer de tendresse…
Regarde-moi dans les yeux…(regard dardant)
Là où je voudrais vivre…jusqu’à ma mort…
Le ciel d’aujourd’hui chagrinait mais jamais comme moi lorsque je reviens des Laurentides…
comme toujours cette grande sensibilité exprimée en peu de mots mais qui « portent »…
et comme toujours de très belles photos… moi aussi j’ai un lieu où j’aimerai finir ma vie…
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Bonjour Christine, merci et heureuse de votre passage 🙂 Avez-vous reçu mon courriel du 12 mai ? Si oui j’attends de vos nouvelles. Belle semaine à vous !
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C’est comme si j’étais venue là moi aussi 😉
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Tu y es venue…avec tes doigts, tes yeux, ton coeur et ton talent 🙂
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:))
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