Brève apostrophe d’une vie vidangée
D’un espace inoccupé. Vide d’espoir
Trop anéanti pour survivre à mon suicide
Au couleur de la pluie qui sombre à ma fenêtre
Cette vie déroutée
Tout au creux d’un puisard
Tout au fond de mes rides
Où coule un peu, peut-être
Le goût de vivre encor’
Et d’écorcher mes mots
Peut-être un peu encor’…