J’aime lire les autres.
J’aime surtout vivre.
Vivre les autres.
Ceux qui s’aiment.
Des notes d’amour.
Le sens du non compris.
J’aime surtout écrire.
Écrire le non-sens.
Puis, un jour, oui, un jour,
Le sens n’en aura plus.
Ce jour-là, je vais mourir,
car…
mourir n’a aucun sens…
Plus aucun sens.
Mourir un peu pour entendre
ou sous-entendre vivre l’autre…
Je viens d’écrire ce texte et me demande s’il peut survivre l’espace d’un questionnement…???