froid Quand il fait si froid Qu’on oublie des gens dehors Le dedans gèle. Fraîcheur du matin Quand nos ombres s’étirent Plus grandes que nous. Comme d’habitude, photos plus ou moins sans rapport St-sévère Évaluez ceci :Partager pour en rireFacebookLinkedInTwitterJ’aime ça :J’aime chargement… Articles similaires Publié par denisegirardsoupir Raconter ma vie serait simplement une erreur. Profitez du temps qui passe et peut-être bien qu'un jour, on me racontera. Voir tous les articles par denisegirardsoupir
Oui quand le coeur nous gèle…si on oublie les autres dehors. Tu as les mots, ils ont le froid. Merci de nous le rappeler si bellement. J’aimeAimé par 1 personne Réponse
Merci, Diane, nos hivers ne sont pas faciles pour ceux qui vivent en son souffle. J’aimeJ’aime Réponse
Oui c’est tellement juste. L’idée glaçante que par ce froid, il y a des êtres qui sont dans la rue… (les photos sont très belles, n’empêche) J’aimeAimé par 1 personne Réponse
Merci, Colette, de ressentir également de la compassion, ainsi que pour mes photos :). J’aimeJ’aime Réponse
Et oui, Tristan ! Et tout ça grâce à toi ! Tu le savais au moins ? Je garde précieusement tout près de moi ton cadeau du 5 septembre 2002. Le livre du haïku, Fourmis sans ombre. Mon favori à jamais ! xx J’aimeJ’aime Réponse
Si juste le dedans gèle !
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Le dehors, lui, craque 😉
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Oui quand le coeur nous gèle…si on oublie les autres dehors.
Tu as les mots, ils ont le froid. Merci de nous le rappeler si bellement.
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Merci, Diane, nos hivers ne sont pas faciles pour ceux qui vivent en son souffle.
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Oui c’est tellement juste. L’idée glaçante que par ce froid, il y a des êtres qui sont dans la rue… (les photos sont très belles, n’empêche)
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Merci, Colette, de ressentir également de la compassion, ainsi que pour mes photos :).
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Un haiku canadien !
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Et oui, Tristan ! Et tout ça grâce à toi ! Tu le savais au moins ? Je garde précieusement tout près de moi ton cadeau du 5 septembre 2002. Le livre du haïku, Fourmis sans ombre. Mon favori à jamais ! xx
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