Très belle comparaison, que celle entre le coeur et le portefeuille !!! Non seulement parce qu’elle symbolise, à elle seule, tout le dilemme de l’Homme moderne, tiraillé entre ses idéaux et la prééminence de ses instincts (en politique ou ailleurs, nous avons beau avoir le coeur à gauche ; mais le portefeuille, lui, restera toujours à droite…), mais parce qu’il est tellement vrai, aussi, que le coeur nous conduit très / trop souvent à « dépenser » bien plus de sentiments que nous n’en avons ou n’en recevons !!!
Le pire, d’ailleurs, c’est qu’il y a même un lien très étroit entre cette « dépense » et la notion de dette qu’on nous rabâche à toutes les sauces ces temps-ci ; sauf que la dette du coeur est infiniment plus morale que financière ! Pour ma part, je ne compte même plus le nombre de fois, au cours de ma vie, où je me suis retrouvé à me surmener pour les autres, de peur d’être rongé par la mauvaise conscience à l’idée de ne pas en faire assez !!!
Très beau billet, à l’image des précédents, d’ailleurs !!!
Sur ce, très belle semaine à toi, Denise, et au plaisir de te lire encore longtemps:-)
Merci mon gentil coeur pour tes passages qui me font toujours plaisir. Que du bonheur à te lire et il y a tant de justesse dans tes mots. Belle semaine à toi également et bise !
Très belle comparaison, que celle entre le coeur et le portefeuille !!! Non seulement parce qu’elle symbolise, à elle seule, tout le dilemme de l’Homme moderne, tiraillé entre ses idéaux et la prééminence de ses instincts (en politique ou ailleurs, nous avons beau avoir le coeur à gauche ; mais le portefeuille, lui, restera toujours à droite…), mais parce qu’il est tellement vrai, aussi, que le coeur nous conduit très / trop souvent à « dépenser » bien plus de sentiments que nous n’en avons ou n’en recevons !!!
Le pire, d’ailleurs, c’est qu’il y a même un lien très étroit entre cette « dépense » et la notion de dette qu’on nous rabâche à toutes les sauces ces temps-ci ; sauf que la dette du coeur est infiniment plus morale que financière ! Pour ma part, je ne compte même plus le nombre de fois, au cours de ma vie, où je me suis retrouvé à me surmener pour les autres, de peur d’être rongé par la mauvaise conscience à l’idée de ne pas en faire assez !!!
Très beau billet, à l’image des précédents, d’ailleurs !!!
Sur ce, très belle semaine à toi, Denise, et au plaisir de te lire encore longtemps:-)
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