C’était facile de l’amuser
Ses cheveux aux quatre vents
Insouciante et sans tourment
Ne pouvant faire autrement
Ses yeux toujours enjoués
Sa bouch’ prête à embrasser
Rien ne pouvait lui arriver …
et peut-être le refrain…et puis peut-être plus rien ensuite… :
Elle aimait le vent qui passe
Et les bras qui l’enlacent
Non rien ne l’effrayait
Puisque tout l’amusait
Elle aimait le temps qui passe
Et que l’on se prélasse
Jamais rien n’l’arrêtait
La vie n’était qu’un jeu
Où j’comptais pour si peu