N.B. : Je puis en ajouter à tout moment, ou simplement tourner la page et écrire ailleurs.
Mes verres sont barbouillés de mots que mes cils transportent.
J’ai besoin d’inventer pour oublier ce qui existe déjà. (J’l’avais déjà écrit ici bas…non mais quel oublie !)
Beaucoup d’écrivains prennent une photo d’eux avec la plume inspiratrice entre les lèvres. Moi, je m’en ferai une, avec le clavier entre les dents.
Sur la route, quand un chien comme ça bave, tu remontes ta fenêtre.