À peine visible ; L’oiseau déploie ses ailes. Presque invisible ; L’oiseau tourne le dos. À peine perceptible ; L’oiseau se fond dans les flots.
À peine visible ; L’oiseau déploie ses ailes. Presque invisible ; L’oiseau tourne le dos. À peine perceptible ; L’oiseau se fond dans les flots.
j’aime beaucoup
sur la solitude, le rien
l’espoir, peut-être?
J’aimeJ’aime
Bonjour Jean-Paul ! Peut-être un peu de tout cela à la fois. Il est seul, seul mais prêt à s’envoler en tournant le dos à un rivage tout en faisant face à l’autre rive…il y a toujours un autre horizon où l’on peut déposer son espoir.
Merci de votre visite et de vos mots,
Amicalement,
Denise
J’aimeJ’aime
Superbe texte pour une superbe photo.
Merci de partager!
Louis R.
J’aimeJ’aime
Merci Louis ! Contente de voir le bout de ton nez ici. À tout bientôt ici ou ailleurs…on se promène un peu pas mal partout nous deux. rires
J’aimeJ’aime
Laisser un commentaire (gentil)