Les mots coincés dans ma gorge n’ont pas de suite dans les idées.
Je vis dans un vestiaire d’idées, qui sentent le renfermées.
J’ai idée, que dans ma tête, il se passe trop de temps à penser et que dans mon cœur il manque du temps pour aimer.
Les mots coincés dans ma gorge n’ont pas de suite dans les idées.
Je vis dans un vestiaire d’idées, qui sentent le renfermées.
J’ai idée, que dans ma tête, il se passe trop de temps à penser et que dans mon cœur il manque du temps pour aimer.