Je parle d’un peu d’amour…

Je suis le pluriel de ta tentation… 

J’oublie l’obéissance lorsqu’arrive la jouissance.

 Séduisez-moi je vous en supplie, que je puisse réécrire l’amour.

C
omment refaire une vie qui se défait ?

Tes lèvres sont ma jouissance éternelle.

Je suis une femme de lettres, illettrée.

Il me suffit d’entendre votre cœur battre pour que le mien s’arrête.


I
l existe des musiques pour  nous faire oublier les ténèbres :

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