Il ne manque que toi et l’odeur de ta peau
Combinant les couleurs chaudes à celles de l’hiver
Aux courbes érotiques sur une toile de pierre
Surplombant la route qui mène à mes rêves
La barge recherche la grenouille sautillant sur la grève
C’est bien là où mes amours s’envolent. En dérive
La lune danse romantique sur le lac qui m’enivre.
Je vogue sur un radeau sans rame
Ferme cette fenêtre qui me mène à toi
Je n’en peux plus. C’est un drame
Oublie-moi…oublie-moi…oublie-moi…
Je ne puis t’oublier…Je ne puis t’oublier…Je ne puis t’oublier…
Soupir, 7 février, 2004 ©