Lorsque je crois avoir tout dit, le silence revient.
Le silence casse comme la coquille recouvrant l’embryon.
L‘humain n’en est plus un lorsqu’il respecte le silence, car, il est toujours à la recherche de sa petite voix intérieure.
J‘entends le silence dans le silence détruisant le vacarme de mes prières non exaucées.
Je vague sur le désert de mes espoirs défoncés d’illusions inconcevables.
Me retirer en silence.