Derrière chez-moi, l’arbre se dénude. Pourtant la froidure sévit. La sève cesse de battre sous son écorce. À ses pieds palpite la couleur de ses ancêtres. Demain, oui demain, ils reviendront les bourgeons.
Derrière chez-moi, l’arbre se dénude. Pourtant la froidure sévit. La sève cesse de battre sous son écorce. À ses pieds palpite la couleur de ses ancêtres. Demain, oui demain, ils reviendront les bourgeons.
Publié par
Laisser un commentaire (gentil)